PIONNIERES DU RISQUE.
Histoires de femmes intrépides.
« Les premières dames embarquèrent dans une nacelle moins d’un an après que les frères Montgolfier eurent réalisé leur premier vol de démonstration dans leur ballon à air chaud... Le parachutisme, considéré en ses débuts comme un spectacle à sensation, réclamait de jolies silhouettes, de préférence féminines… Le premier homme-canon était une femme… Et la seule funambule de sexe féminin à avoir traversé les chutes du Niagara montra une fois pour toutes que ce type de performance n’est en rien l’apanage des hommes... Plus étonnant peut-être, la chasse à la baleine et la plongée industrielle connurent elles aussi leur lot d’aventurières des premières heures... »
Pilote de ballon, parachutiste, homme-canon, funambule de l’extrême, pieds-lourds et chasseur de baleine, autant de professions où, de nos jours encore, on attend peu les femmes. Et pourtant elles furent là, officiellement ou clandestinement, dès les premiers balbutiements de ces disciplines, alors même que le matériel restait parfois à inventer, à exploiter et à tester.
Ce livre est un hommage à ces pionnières du risque, méconnues ou oubliées, qui ont ouvert des voies où se sont engouffrées après elles d’autres femmes intrépides. Des voies étroites cependant, que seule la vigilance des générations d’aujourd’hui empêche de se refermer.
Éditeur : | Editions du Trésor | Langue : | français |
---|---|---|---|
Genre : | Histoire | Sortie : | 11 février 2021 |
Sous-genre : | Général | ||
Biographie
Marie-Eve Sténuit
Marie-Eve Sténuit est née à Uccle, une commune de Bruxelles, le 15 mars 1955. Elle a étudié l’Histoire de l’Art et l’Archéologie à l’Université Libre de Bruxelles, ville où elle réside principalement aujourd’hui. Elle exerce la profession d’archéologue et d’écrivain. Ses activités scientifiques l’ont conduite pendant plus de vingt ans en Syrie, chaque année. Elle est également co-directrice du GRASP (Groupe de Recherche Archéologique Sous-Marine Post-Médiévale) créé par son père, Robert Sténuit. Elle séjourne régulièrement en Indonésie, sur l’île de Bali, par amour pour l’art et la culture de l’Asie du Sud-Est. Entre ses voyages, ses recherches historiques et la publication de ses fouilles, elle s’efforce de trouver le temps d’écrire des romans.
Multimédia
Voir toutes les imagesMultimédia
Voir toutes les imagesRevue de presse 2021
MARIA SPELETRINI dans Leur vie ne tenait qu'à un fil, de Stéphane Bern
EUROPE 1 - 29/03/2001